Les éditions de l’Attribut et la revue PANARD seront présentes le vendredi 1er avril à la journée de conférence « L’omnisports, réponse aux objectifs de développement durable de l’ONU » animée par Benoît Maury. Un stand sera dédié à PANARD et aux autres revues et ouvrages de la maison d’édition.

Les éditions de l’Attribut et la revue DARD/DARD, en partenariat avec la Mairie de Toulouse et les centres culturels Théâtres des Mazades et Espace Job, ont le plaisir de vous convier aux deux premières rencontres organisées dans le cadre de la saison thématique Échappée verte.

Pablo Servigne présente DARD/DARD dans le numéro d’été d’Yggdrasil en ces termes : « Petit format, couverture couleur mais intérieur en bichromie assez sobre, 164 pages, ce semestriel se consacre au fond, avec des articles longs, des récits sensibles, des débats, des analyses critiques, des portraits de « hérauts en transition » […] Les initiatives sont là, et les idées ne manquent pas.

Carnets de campagne, de Philippe Bertrand sur France Inter, met en avant la revue DARD/DARD à travers l’article de Pascale Bonniel Chalier paru dans le dernier numéro sur Le Grenade qui est la preuve des bienfaits d’une démarche coopérative : elle crée de la valeur sociale et écologique autant qu’économique, et développe des mécanismes de solidarité tout en respectant la démocratie en entreprise.

Eric Fourreau a été reçu par Mathieu Vidard dans La Terre au carré sur France Inter le 4 décembre 2020 pour présenter la revue DARD/DARD. C’est à écouter ici.

En cette période bien particulière, il est temps de penser à se faire des cadeaux ! Et quoi de mieux qu’une collection de revues ?

Très belle rencontre ce 16 juillet aux Suds, à Arles, avec la philosophe Vinciane Desprets et l’auteur Frank Tenaille, animée par Eric Fourreau, directeur de NECTART : « Agir pour le vivant ».

Dans son émission Par Jupiter du 26 juin sur France Inter, Charline Vanhoenacker a longuement parlé du dernier numéro de NECTART. et notamment de l’article d’Hélène Duclos et Hélène Cherbonnel Pourquoi les festivals doivent être évalués à l’aune de leur utilité sociale.